Thursday 1 September 2011

La valse des marques et des univers

L’univers du vêtement est en pleine ébullition. Certes, la crise du secteur tertiaire et plus particulièrement du secteur textile n’a pas aidé. Soit, mais de cette situation de crise est née une nouvelle race d’entrepreneur. Plus soucieux d’une éthique loin du made in complètement China ou leur nouvelle appellation « made in P.R.C » de la traduction République populaire de Chine. Le streetwear qui a pendant très longtemps été victime du made in Asie de façon systématique commence à changer sa façon se faire. Les vêtements streetwear se modernisent et toutes les chaines de productions changent. Ainsi les anciennes machines de l’époque doivent être renouvelées, ce que les chinois n’aiment guère puisque le changement porte un coup, au pays de l’économie de marge, vous comprendrez que cela ne fait pas bonne affaire. De l’autre côté, des pays émergents, en quête de nouveaux segments font de grands efforts. L’Amérique du sud avec le brésil en tête ou encore l’Indonésie sont devenus les nouveaux fabricants de l’univers streetwear. T-shirts, polos et pantalons sont les pièces de premier ordre sortant chaque jour des n nouvelles usines créées pour l’occasion.

Les chemises streetwear à manche courtes ou longues mais surtout les pièces encore un peu plus complexe comme les vestes et certains accessoires, sont encore la propriété des chinois. Cependant, la révolution street poussera la grande Chine a diminué son influence.

La mode hip hop n’est elle non plus sous le joug de la grande danse Asiatique. Toujours en plein renouvellement au gré des nouveaux artistes qui émergent, cette tendance hip hop prends le large et a désormais atteint toutes les zones du monde et tous les pays. La production actuelle est tant éparpillée qu’aucune statistique ne permet objectivement de définir une tendance. Même le petit producteur local au fin fond du Bangladesh s’essaie à la création de quelques pièces aux effigies de personnes célèbre ou suscitant la rêve, afin de gagner quelques roupies supplémentaires. Les vêtements hip hop ont toutefois, peu évolués car ils restent larges, de tissus très épais, et portés par toutes les classes sociales, indépendamment de l’âge.

La seule possibilité pour le secteur de la création au pays du soleil levant reste la mode urbaine dit pour les initiés, l’urban wear… cette mode quasi millénaire, a toujours pris en compte par à-coup les évolutions urbaines pour l’adapter aux vêtements de tous les jours. Vestes, chaussures streetwear et autres univers sont assez largement représenté dans cette gamme dite plus large car représentative des hommes et femmes d’aujourd’hui. Et leur retour sur le long terme au rang ultra dominateur d’empereur de la création du streetwear ou encore du vêtement hip hop passera par la reprise en main globale de ce chemin. 

Le véritable gagnant restera le consommateur qui sera sans aucun doute au premier plan puisqu’il sera l’arbitre de sa qualité tout en écoutant les sirènes des prix lui faire passer le pas… vers l’achat !

 

Jeremy Marcelino the webmarketing manager, is an expert in responsable webmarketing or CV responsable emailing and also his name is also considered as one of the brand names in the field of expert webmarketing. He makes the e-marketing reachable to each and every one. E-marketing

 

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